Jazz à Junas

Jazz à Junas

9h sur la place de l’avenir
BALADE BOTANIQUE
Depuis le 20e festival ce moment particulier est devenu incontournable.
En cette année anniversaire nous vous proposons une balade commentée par l’ethnobotaniste Eric Gannevalle pour une approche scientifique et sensorielle de la nature junassole !

11h au temple
ARNOTTO (France, Autriche)
Otto Lechner et Arnaud Méthivier : accordéons
Pour terminer cette matinée nous vous proposons de retrouver un duo emblématique du Festival Jazz à Junas depuis leur première venue en 2004 !
Voici le nouveau projet de ces deux accordéonistes qui cultivent l’art de la conversation et de l’improvisation. Ce duo ne vous laissera pas indifférent.

21h aux Carrières du bon temps
LE SACRE DU TYMPAN “X” (France)
Fred Pallem : direction artistique, basse, guitare, Vincent Taeger : batterie et percussions, Guillaume Lantonnet : percussions, Guillaume Magne : guitare, Sébastien Palis : clavinet, orgue, Rémi Sciuto : flûtes, sax baryton & sopranino, Christine Roch : sax tenor & clarinette basse, Sylvain Bardiau : trompette, bugle, Daniel Zimmerman : trombone, Anne Le Pape : violon, Aurélie Branger : violon, Séverine Morfin : alto, Michèle Pierre : violoncelle
La carrière du Sacre du Tympan, L’orchestre à géométrie variable de Fred Pallem, a débuté il y a plus de deux décennies, et ce projet brandit sa différence à travers un exercice périlleux : écrire chaque titre comme un tube en puissance. Les 13 musiciens font sonner cuivres, cordes et clavecin comme autant de gimmicks pop. “X” (le dixième) est porté par des sentiments très personnels, comme Goodbye Lougarock, dédié au père de Fred Pallem, Bitches en Marbella, qui évoque à sa manière la libération des confinements successifs ou encore “L’Amour du Disque” où le compositeur raconte sa joie d’écrire pour le Sacre. “ X” rappelle surtout la mission très actuelle du Sacre du Tympan : replacer la musique orchestrale sur la carte, comme un drôle d’endroit impossible où les envolées wagnériennes croiseraient le groove des basses de David Axelrod et la folie de Jean-Claude Vannier.

KUTU (France, Ethiopie)
Hewan G/Wold : chant ; Haleluya T/Tsadik : chant ; Théo Ceccaldi : violon, arrangements, compositions ; Akemi Fujimori : claviers, électronique ; Valentin Ceccaldi : violoncelle, basse ; Cyril Atef : batterie
KUTU, c’est le nom de l’enfant survolté né de la rencontre en Éthiopie entre le violoniste Théo Ceccaldi, électron très libre du jazz hexagonal et européen, et les deux chanteuses Hewan G/Wold et Haleluva T/Tsadik. L’étincelle de cette association a jailli d’un voyage au cœur des nuits enfiévrées de l’Addis-Abeba underground : un monde où, comme au temps des frasques sixties de Mahmoud Ahmed ou Alèmayèhu Eshèté, la jeunesse hyperactive s’empare des sons ancestraux pour mieux les transcender.
KUTU nous invite dans un univers cosmique entre influences traditionnelles azmaris, furieuse transe electro-mystique, slam tonitruant et énergie punk. Une expérience physique et psychique, à la fois inédite et hypnotique.
Le groupe ethio-trans le plus bouillant du moment va enflammer les Carrières pour ce final des 30 ans !